« Il y a certainement plus de richesse en un seul livre que dans tout le butin rapporté par les pirates de l'Île au Trésor. » - Walt Disney

La lecture, activité solitaire, s’accompagne souvent d’échanges sociaux dans le monde réel

Certes, pendant le temps de la lecture, nous sommes seuls avec notre livre. Moment unique de temps suspendu à l’heure où tout doit aller vite. Ce temps solitaire peut se prolonger, plus tard dans la journée : anticipation des prochains chapitres, méditations, rêveries, voyages imaginaires.

La lecture provoque aussi des moments avec les autres : conversations, échanges parfois enflammés, connivence, recommandations. Avec des proches, mais pas seulement car le livre a ceci d’unique qu’il peut faire traverser le miroir !

Ceux qui se sont trouvés dans un train, assis en face d’un voyageur lisant le même livre qu’eux le savent… La discussion, les sourires, la proximité sont évidents et faciles.

Certains livres nous laissent une empreinte profonde

Qu’il s’agisse de Harry Potter, du Petit Prince, de La nuit des temps, de La conjuration des imbéciles, de L’ombre du vent ou du Zéro et l’infini… Qu’ils aient été lus il y a 3 jours ou 30 ans, quand nous avions 9 ou 60 ans, certains livres laissent des traces et font partie de nous.

Non seulement ils nous marquent, mais ils cristallisent notre mémoire. Pourquoi est-ce que je me souviens encore aujourd’hui que le 9 avril 1987, Philippe m’avait offert René Leys de Victor Segalen ? Et qu’il s’agissait d’un de ses livres préférés ?

C’est la magie de la relation intime que nous avons avec chacun de nos livres.

À l’âge des réseaux sociaux numériques et de la communication de masse il n’a jamais été aussi facile d’échanger, pourtant on a jamais été aussi seuls qu’aujourd’hui

Face à une telle facilité à se connecter aux autres il est paradoxal que le sentiment de solitude soit aussi fort. Les médias sociaux numériques nous occupent, nous divertissent, nous monétisent. Qu’est-ce qu’ils laissent en échange ? Des études montrent que gérer son image sociale numérique et la faire vivre génère d’autant plus de stress qu’on a « d’amis ». Or, il est devenu difficile de refuser une demande de connexion ou un like, marqueurs de popularité et d’existence numérique.

Il est probablement un peu tôt pour mesurer l’impact profond de ces produits sur les générations suivantes, mais on constate qu’ils prônent des valeurs individualistes, du narcissisme et la dictature du regard de l’autre.

Notre ambition, concilier le meilleur des réseaux sociaux et le meilleur du livre

De plus en plus, la demande de sens et de réel s’expriment et nous y répondons avec Gleeph, nous avons la conviction que le livre peut apporter du sens dans les liens digitaux entre personnes.

Nous souhaitons avec Gleeph augmenter le plaisir de la lecture et renforcer le lien social, par le « lire ensemble » et le partage de nos bibliothèques avec nos proches.

Nous n’encourageons ni la course au nombre de livres, ni la course au nombre d’amis. Nous souhaitons simplement vous offrir de belles découvertes et de beaux voyages.

Notre vision se veut porteuse d’humanisme, culture et sincérité : « chaque livre que vous aimez vous lie de manière positive et immédiate à vos proches et à des milliers d’autres lecteurs ».

« Il n’y a pas besoin de brûler les livres pour détruire une culture. Juste de faire en sorte que les gens arrêtent de les lire. » - Ray Bradbury, Fahrenheit 451

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